Le Rhume du Son – Radio Campus Grenoble – Avril 2023
A Mbour, grand port de pêche sénégalais, migrer comme seul remède
RFI – C’est pas du vent – Mai 2023
Reportage au Sénégal à Mbour où l’association nationale des partenaires migrants (ANPM) accompagne les exilés rapatriés, refoulés, ou candidats au départ dans des projets de réinsertion sociale et économique tout en sensibilisant la population aux droits à la migration. C’est un reportage de Clémentine Méténier.
La convention citoyenne sur le climat à Grenoble
RFI C’est pas du vent – Mai 2023
En décembre 2021, la métropole de Grenoble lançait l’initiative d’une convention citoyenne du climat, quelques mois après l’échec de celle initiée par le gouvernement. Une première en France à une telle échelle territoriale.
Durant toute l’année 2022 une centaine de citoyens ont planché sur l’élaboration de propositions sur deux thème : Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre et comment atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ?
Pendant huit mois, un panel le plus représentatif possible des habitants des 49 communes de la métropole s’est réuni pour proposer 219 recommandations qui ont été officielle votées en conseil métropolitain.
Stations de ski fantômes : quel avenir pour la montagne ?
RTBF – Transversales – Avril 2023
Diffusion de Voix Lactées : Par Ouïe Dire (RTBF)
Février 2023 – Par Ouïe Dire – RTBF
https://auvio.rtbf.be/media/par-oui-dire-voix-lactees-3003018
Personnes sans papiers : pourquoi régulariser ?
Résolutions – Secours Catholique – Janvier 2023
Des centaines de milliers de personnes étrangères vivent aujourd’hui sur le territoire français, sans papiers. Certaines sont présentes depuis des années, beaucoup travaillent et/ou ont des enfants nés et scolarisés en France.
On estime aujourd’hui qu’entre 300 000 et 500 000 personnes étrangères vivent en France sans titre de séjour, parfois depuis plus de dix ans.
Leur situation irrégulière, qui les prive de droits sociaux et d’autorisation de travailler, les plonge souvent dans une précarité multiforme, à la fois matérielle et psychologique.
Elle est due à une politique migratoire devenue très restrictive, que nombre d’observateurs considèrent comme déconnectée de la réalité de la migration et des besoins de notre société. Ces personnes, qui pour beaucoup travaillent malgré tout, sont en effet essentielles à notre économie, notamment concernant les secteurs en panne de main d’oeuvre.
Alors que le Gouvernement souhaite légiférer en matière de régularisation par le travail sur ces métiers en tension, le Secours Catholique et d’autres acteurs militent pour une régularisation plus large et plus rapide, afin de protéger ces milliers personnes en leur conférant des droits, et de leur permettre de s’extraire de la pauvreté.
Ainsi, elles pourront enfin mener une vie normale au sein de notre société et s’investir dans celle-ci en tant qu’actrices à part entière.
https://www.secours-catholique.org/m-informer/enquetes/personnes-sans-papiers-pourquoi-regulariser
Le parcours du plus vieux prisonnier politique d’Europe
Transversales – RTBF – Janvier 2023
Georges Ibrahim Abdallah est en prison en France depuis 36 ans. Ce militant communiste libanais a été condamné à la perpétuité en 1987 pour complicité d’assassinat. Il est libérable depuis plus de 20 ans, mais il est toujours sous les verrous aujourd’hui…
Le créole, creuset de La Réunion
Manière de Voir (Le Monde Diplomatique) – Décembre 2022
Sera-t-il possible d’assurer l’accès universel à l’eau potable au Sahel et en Afrique de l’Ouest ?
Autour de la question – RFI – Novembre 2022
etrouvons-nous autour d’une question vitale : celle de l’accès universel à l’eau potable en Afrique subsaharienne. C’est l’un des objectifs de développement durable fixé par l’Onu, pour 2030.. Un objectif qui semble d’ores et déjà hors d’atteinte dans ces régions de socle où l’eau coule pourtant en quantité mais souterrainement dans des lacs aquifères ..
Alors comment rendre visible l’invisible ? Ces eaux souterraines si précieuses, si indispensables aux habitants du Sahel ? Et pourquoi faudra t’il revisiter entièrement les méthodes de forage pour y parvenir ? C’est un cri d’alerte et un défi majeur auquel ont décidé de s’atteler les hydrogéologues de toute l’Afrique de l’Ouest. Rassemblés en collectif ils se sont fait entendre en cette année des eaux souterraines décrétée par l’Unesco, lors d’un congrès, au printemps dernier, où notre reporter Clémentine Méténier les a rencontré et interrogé sur leurs recherches et leur engagements…