« Le terme terroriste, je l’utilise rarement pour désigner ceux qui commettent des actes…les conséquences seraient trop graves »

Petite série de rencontres avec des journalistes de la région de Tombouctou (Nord-Mali) et de Bobo Dioulasso (Burkina Faso), rencontrés lors d’une formation au journalisme de crise encadrée par l’association lyonnaise Reporters Solidaires, à Bobo-Dioulasso, du 20 au 28 mars 2018. Où la rencontre permet de prendre conscience des difficultés du métier de journaliste, en Afrique. Alhousseiny vit à Tombouctou, âgé d’une petite trentaine d’années.

Dès 14 ans il commence à parler à la radio, média de proximité qui permet d’informer la population au plus près. Ayant bénéficié de bourses et de formation en journalisme dans plusieurs pays, ce jeune journaliste n’en est plus à ses débuts a une motivation de fer pour donner une information, juste et vérifiée aux Maliens. Dans notre discussion il m’a fait part de la grande responsabilité qui incombe aux journalistes de Nord-Mali à l’heure actuelle.

 

 

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